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[ZELDA] Parce que bon, quand même.

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PeteMul:
Apparemment, ça fait 30 ans que The Legend of Zelda est sorti au Japon. Ah. Tout de même.

Les critiques d'Hebus, de Taz, et de quelques autres, rendent suffisamment hommage aux mythes des jeux de la première heure. Mais bon, c'est quand même l'occasion d'évoquer notre rapport personnel à cette série. Nos débuts, nos émotions, nos regrets, etc.


Pour ma part, à cette heure, je suis loin d'avoir joué à tous les épisodes. J'ai à mon compteur les épisodes NES, Game Boy, Super Nes, Ocarina of Time et le début de Majora's Mask, Wind Waker, Minish Cap et A Link Between Worlds. Je ne compte pas les Hyrule Warriors et autres trucs un peu moins canoniques. Donc je suis loin d'avoir tout fait. J'avoue avoir du mal à accrocher aux épisodes DS ou Wii. Ca me fait tout bof.

Mais bon, j'estime avoir roulé ma bosse quand même. J'ai découvert la série au moment de la sortie de Link's Awakening, qui était finalement le premier"gros" titre que j'avais commandé à Noël. Jusque là une certaine forme de snobisme, et l'envie de ne pas paraître comme un mouton à mes parents, me faisait préférer des trucs plus obscurs (et nuls.) Mais là j'avais craqué. J'étais un peu sensibilisé par le buzz de l'époque - Télévisator et les magazines, surtout. J'avais tatouillé de la version Game & Watch, mais sans plus. Aucun de mes copains d'école n'avait le moindre Zelda, c'était juste "wouah, quand ils font les soluces commentées à la fin des émissions de TV le mercredi matin, ça a l'air de tout déchirer." Je me souviens avoir assisté à la soluce de la fin de Zelda 3 (totalement à mille lieues d'imaginer que j'aurais ce jeu un jour, donc c'était ma façon à moi d'en profiter.) Et je débutais dans le jeu vidéo. J'avais tout à apprendre de Nintendo et du JV en même temps. Le grand saut avec un S en majuscules d'or.

Et effectivement, putain, quelle baffe. Je n'ai pas pu en décoller. Ma mère en a chialé, quand je piquais le GameBoy dans le placard où elle le cachait. Je me planquais pour jouer comme si j'avais lu des revues porno, c'est fou. Je me souviens encore aujourd'hui, au moment où j'écris, de mon sentiment de vertige béat lorsque le premier jingle de "résolution d'énigme" a retenti dans le haut-parleur de mon Game Boy, en ouvrant la Cave Flagello. J'étais assis sur mon lit, légèrement tourné vers la porte, il devait être près de 19h, avec le bruit de la cocotte-minute qui sifflait dans la cuisine en-dessous, j'étais jeune, j'étais fou, j'étais beau, j'étais chevelu et l'aventure avait resserré sur moi son étreinte comme la première fille qu'on a jamais tenu dans ses bras, c'est à dire d'une façon que jamais de la vie on n'oubliera.

J'ai dévoré ce jeu goulûment, avec les tâtonnements des premiers ébats, les erreurs grossières, les orgasmes successifs, jusqu'à ce sentiment d'accomplissement unique lorsque j'en ai vu le bout, après avoir galéré des jours comme un con devant le dernier boss, n'ayant pas encore compris qu'on pouvait le battre facilement avec les bonnes armes (et du coup je réussissais à vaguement l'endommager sous sa première forme uniquement à l'épée - je me rends compte aujourd'hui que c'était du domaine du glicth. Syndrôme PeteMul, déjà.)

Link's Awakening restera LE Zelda à jamais, mais quelques mois plus tard, alors encore sur mon nuage, et avec simplement (!) Mystic Quest sur Game Boy pour entretenir le souffle chaud de l'aventure sur ma nuque, je faisais l'acquisition d'une Super Nintendo d'occasion, de manière totalement inattendue. Et lorsque j'eus économisé les fonds nécessaires, j'achetai Zelda 3 - là encore le premier jeu neuf que je m'autorisais. Encore un peu sur la lancée de Link's Awakening, je vous laisse imaginer les méandres de bonheur dans lesquels j'ai nagé sans honte ni pudeur. Les souvenirs sont moins vifs, mais je revois encore ce mercredi matin où je plantais mon dernier coup d'épée dans le boss de la tour d'Héra, ou encore ce cauchemar à tourner en rond dans le donjon de glace, ou bien ce stress absolu face au boss du repaire des bandits. Et je ne peux pas non plus oublier combien de fois je l'ai fait, refait, rerefait, jusqu'à enfin avoir tous les fragments de coeur et visiter chaque pièce, y compris la pièce aux fées de la tour de Ganon, dont j'ai déjà parlé dans un autre topic.


Ensuite, c'est plus flou. L'émulation passe par là, l'implication n'est plus la même. Je m'amuse, j'explore, je teste, je concède un frisson lors du combat dans la salle de l'orgue, face à Ganondorf, pour Ocarina of Time*. Je prends un plaisir naïf et cool avec The Minish Cap. Mais s'en suivent tout de même quelques années plus maigres, bonnes, mais sans le génie des premières heures. J'ai vieilli et le plaisir est devenu plus facile.

Heureusement que 2015 est arrivée. Année bénie qui m'a rendue mes sensations d'enfant. The Wind Waker. A link between world. Les yeux pétillants en affrontant l'océan et ses mille promesses, les jambes tremblantes comme au premier rendez-vous pour le long week-end sur 3DS, avec quelques rares pauses pour une faire de courtes siestes ou pauses WC, parce que merde, l'aventure n'attend pas... Bon sang, à 35 ans, si c'est pas malheureux...

Non, vraiment, il n'est pas vain, il n'est pas idiot, il n'est pas futile de remercier chaque jour le ciel d'avoir fait naître Saint Miyamoto, et de lui avoir permis de donner vie à son projet fou, à ses histoires magiques, parce que ma vie aura été marquée par lui et par son œuvre. On est peut-être des cons puérils pour s'émouvoir encore de ça, mais j'assume, avec délectation.

*Par contre, dans OoT, pour Hyrule, son organisation géographique, sa map, son espèce de plaine-Hub à la con, zéro. C'est le truc qui me gâche limite l'expérience. J'ai l'impression de jouer à Zelda dans un terrain vague et pas de visiter un pays.

rodshin:
Pour ma part, mon premier zelda est bien le 1 sur NES, je me souviens encore le temps passé à essayer de brûler chaque buisson avec la bougie bleue!!! (en sortant à chaque fois de l'écran en notant sur un papier les arbres déjà cramés!!)

Ces foutus mangeurs de boucliers qui te faisaient rager et évidemment cette musique de palais qui te faisait faire des cauchemards quand tu n'avais plus de vie.

Ce Zelda restera à jamais mon préféré car c'était celui de l'innocence.

Sto:
Ah bah oui, Zelda, ça va faire cliché et pas original pour un sou, mais c'est probablment l'une de mes séries préférées, sinon LA préférée.

Mes premiers pas dans la peau de Link sont étranges. Je me souviens regarder un copain jouer au tout premier, et me montrer comment son perso gagnait en puissance avec l'équipement qu'il obtenait, comment il découvrait des objets secrets cachés dans des grottes secrètes, découvertes derrière un buisson brûlé, ou un mur explosé. L'idée d'aventure de longue haleine, de progression conservée entre deux allumages de la NES me fascinait.

Obtenant enfin de cet ami de me prêter sa cartouche (au passage, une cartouche DORÉE bordel, la première cartouche que je vois qui ne ressemble pas à toutes les autres !), je rentrai chez moi tout excité à l'idée de découvrir cet univers par moi-même, et ce fut... un désastre... Un peu jeune, plutôt couard, je déchantais dès ma première visite du premier donjon. La musique oppressante, les ennemis menançants dans toutes les salles, les cœurs peu nombreux, et l'alerte récurrente de mon approchante démise infligeaient sur moi un stress que j'ai trouvé insoutenable à l'époque. Mon premier contact fut donc un échec, et je délaissais le graal pour d'autres plaisirs plus faciles : Super Mario Bros. 3, M.C. Kids (McDonaldland), Kung Fu...

Ce n'est que quelques années plus tard que la révélation viendra, lors de l'obtention de ma SNES, un pack neuf exceptionnel SNES + 3 jeux, obtenu avec mes propres deniers économisés sur les précédents Noël, anniversaire et autres événements rémunérateurs pour un enfant. Je m'en souviens encore très bien: j'usais le catalogue Camif de mes grands parents, à baver sur ce pack: une Super Nintendo, deux manettes, et les jeux The Legend of Zelda: A Link to the Past, Starfox et Super Mario All Stars*.
Le jour où mon grand père le reçut et l'apporta chez moi, je n'en pouvais plus d'excitation.

Je dois admettre que le jeu Zelda en lui-même m'en touchais une sans faire bouger l'autre, et ce ne fut qu'après plusieurs heures à essayer tous les Super Mario Bros. un à un, à faire des tonneaux dans mon Arwing, que j'ai enfin daignié poser les yeux sur la cartouche qui allait devenir mon puits à temps pour les semaines à venir.

Il n'a fallu que quelques minutes à ce jeu, avec son intro scénarisée, pour capter mon attention et m'absorber dans son univers féérique. Je passerai les détails concernant le jeu en lui-même, les critiques du site, et de nombreux autres articles à son sujet expliqueront bien mieux que moi, mais mon expérience fut intense, chaque coffre, chaque carillon annonçant la découverte d'un secret déclenchaient autant d'excitation que le précécent ! Un très bon ami me rejoignais le mercredi après-midi, et me regardais jouer, et m'aidait à résoudre les énigmes (quand j'y repense, je me dis que j'étais un peu salaud de ne pas lui laisser la manette de temps en temps...). Je racontais même à ma mère mes prouesses, les secrets les plus impressionants que j'avais découvert, les méthodes que j'employais pour vaincre les boss les plus ardus...

Terminer ce jeu pour la première fois fut à la fois une source de bonheur et d'excitation intense, mais aussi une sensation de vide, de tristesse, la fin d'une expérience que j'avais vécue pour la première fois (et que je ne vivrais qu'un nombre de fois limité dans ma vie de joueur).

L'attente d'Ocarina of Time, la lecture des magazines décrivant l'Ultra64, ses retards, sa sortie au Japon, furent la source d'une excitation d'un autre type mais malheureusement, la hype passait, et l'envie d'une N64 fit place à la curiosité pour l'informatique, et je renonçai à la révolution 3D dans le salon pour le monde beaucoup plus vaste des PC.
Je découvrirai enfin Ocarina of Time quelques années plus tard, sur émulateur, jouant au jeu avec une configuration des plus atypiques: ma main gauche sur un joystick (style manche d’avion), me permettant de reproduire les contrôles de direction analogique d’un stick de manette N64, avec deux boutons (épée + Z-targeting) et un POV hat (boutons C), tandis que ma main droite restait posée sur le clavier, pour compléter la panoplie de boutons nécessaires au contrôle de Link. Cette aventure s’arrêta lorsque mon émulateur se trouva incapable de gérer le monocle de vérité (qui n’était pour moi qu’un simple monocle).

J’ai bien sûr fait depuis un retour en arrière, essayant de découvrir tous les Zelda manqués (les chef-d’œuvre que sont The Legend of Zelda et Link’s Awakening, tout comme les plus bizarres Link’s Adventure, Oracle, Majora’s Mask), et continué à attendre chaque nouvel épisode de la série avec plus ou moins d’impatience, dépendant de mon humeur et ma disponibilité (financière et temporelle) à y jouer.

Aujourd’hui encore, la série Zelda reste indéniablement l’une de mes meilleures expériences avec le jeu vidéo.


(* Nazebrok, il me semble que tu parles de moi quand tu mentionnes quelqu'un qui l'avait acheté à la CAMIF à l'époque. Si je ne te l'ai pas déjà dit, ton pack est dans un superbe état, et oui, si je me souviens bien, il venait sans les boîtes. À moins que les boîtes étaient mises à plat dans le pack, mes souvenirs restent un peu flous.)

nazebrok32:
Tant d'amour du jeux vidéos dans ces 3 posts, c'est beau, tournée de BP, c'est moi qui régale.

Pour ma part, le premier zelda sur NES fût l'un des tout premiers jeux vidéo auquel j'ai joué dans ma vie avec super mario bros 1, duck hunt (sur une autre cartouche) et tortues ninja, je devais avoir 6/7 ans.
J'y ai appris mes premiers mots en anglais : sword, shield, compass.
Pareil que rodshin, j'ai dû brûler tous les buissons du jeu, mais pas assez intelligent pour penser à les noter sur une feuille.
Je ne comprenais pas pourquoi d'ailleurs sur la partie du frère d'une copine, il arrivait à brûler certains buissons et pas moi : il en était à la quête secondaire.
Je me souviens également m'être fait engueuler par ma soeur le jour où j'avais effacé sa sauvegarde où il y avait 8 donjons terminés.
On avait recommencé, mais on butait au donjon 7, impossible de trouver la sortie. Je ne l'ai trouvé que bien des années plus tard, il fallait pousser un bloc dans une salle avec des mains qui te choppent pour faire apparaître un escalier.
J'ai revu il n'y a pas longtemps des vieux films de famille, on y voit mes parents, mon frère et ma soeur, on attends une musique au fond dans la cuisine, une musique gravée dans ma tête, celle d'un donjon, c'est moi en train d'y rejouer; ça ma fait sourire en l'entendant.

Jamais fini à l'époque, j'ai dû le terminer la première fois quand j'avais 11 ou 12 ans je pense.

Puis après link's awakening sur gameboy, fantastique, terminé 5 ou 6 fois (dont une dernière fois en janvier de cette année, la version DX que je n'avais jamais faîtes).

Je suis passé à côté de la version SNES car j'avais une megadrive mais j'ai pu me faire ocarina et majora, et rattraper mon retard plus tard sur GBA lorsque link to the past est ressorti.

Il est vrai que depuis windwaker, les épisodes sortis sur Gamecube et Wii m'ont laissé peu de souvenirs mais il est impossible pour moi de ne pas les acheter et les finir.

PS : oui Sto, c'est bien de toi que je parle sur gamopat ;-)

Enker:
De mémoire, ma première rencontre avec la série s'est déroulée dans cette bonne vieille station de ski d'Isola 2000. Nous étions aller dîner chez des amis de mes parents, qui avaient à l'occasion une NES branchée à la télé. Un de leurs enfants jouait alors à Zelda, le premier. Il était bien plus âgé que moi, du coup je me contentais de regarder de loin l'écran et ce qu'il affichait : le héros naviguait dans les dédales monochromes d'un palais. C'était austère, oppressant. Loin de ce à quoi j'avais le "droit" de jouer en fin de compte.

Des années plus tard, alors que la NES était en fin de vie, deux boites de jeux NES s'étaient retrouvées sous le sympa : Little Nemo et Zelda. Lui-même. Ce n'était pas la cartouche dorée (LA cartouche), mais peu importe, je pouvais enfin toucher au mythe, celui-là même que j'avais caressé à quelques reprises quand nos voisins acceptaient de prêter la cartouche.
S'ensuivent de longues parties de jeu, à naviguer dans tous les recoins de cette carte immense, bercées par les douces mélodies que nous connaissons tous. Je ne saurais pas dire si j'avais pu terminer le jeu correctement, mais je crois avoir fait appel aux services de la hotline Nintendo pour progresser à certains moments. Il y avait de quoi...

Mais c'est curieux, car le premier Zelda qui m'évoque de véritables souvenirs est le deuxième. Link's Adventure. J'ai pourtant vu le premier de mes yeux d'enfant avant, mais celui-ci a ce petit truc en plus indéfinissable et inaltérable...
Nos voisins avaient une ressource de jeux qui me semblait inépuisable. Mon frère et moi allions souvent jouer chez eux, parfois ils venaient chez nous. Et comme tout le monde, nous faisions régulièrement des échanges de cartouches, le pied total ! Que ce soit de sombres merdes ou de vraies briques du mur de l'oldisme, j'ai pu toucher à tellement de jeux grâce à eux. Et lorsque mon frère se faisait prêter Zelda 2... eh bien c'était moins drôle en fait. Lui seul avait le droit d'y jouer, ce salaud. Zelda 2 était le "jeu de grands" auquel je n'avais pas le droit de cité. Mes complaintes ne suffisaient pas, les appels à notre mère non plus, peanuts. C'était limite si j'avais le droit de le regarder y jouer en fait. Et je suis sûr que vous savez à quel point peut être déterminé un enfant frustré. Oh oui.

Je profitais donc d'un dimanche matin où la console était là, à trôner fièrement au pied de la télé, complètement désœuvré, pour lancer le jeu. Seul. Mon grand frère était absent, je me retrouvais face à la mythique cartouche dorée prêt à enfin toucher le graal. Et à aborder moi aussi le Mythe et ses dialogues pour le moins obscurs, surtout lorsque l'on ne pipe pas un mot d'anglais. Passé l'écran titre, je sentais déjà le fait de commettre une offense suprême en me retrouvant devant l'écran de sélection de la sauvegarde ! "Que faut-il faire ?" ai-je du me dire à ce moment là... Brillant. J'ai pris une partie au hasard, certainement la première, puis je me suis lancé. Je me souviens d'un passage dans le cimetière, Link navigant entre les croix parsemées sur la carte (ce qui avec le recul m'a l'air improbable, il fallait quand même vadrouiller pour arriver à cet endroit et ça me semble difficilement réalisable par un enfant)
J'en ai pris plein les yeux. Ce sentiment reste ancré au fond de moi, mêlant fierté, surprise béate et cette impression folle d'avoir bravé l'autorité. Sentiment magique.

Bien mal m'en a pris, je n'ai jamais terminé ce jeu.

Des années plus tard, Zelda 3 sur SNES, des heures d'émerveillement total devant ce monde immense et cette liberté alors inconnue. Mais surtout Link's Awakening, reçu à un anniversaire. Le seul jeu sur Game Boy qui aura mérité mon attention pendant toutes ces années. Tant de souvenirs sur cette cartouche aussi, ces moments d'errance dans la grotte du génie sans savoir quoi faire face au boss (réduit à devoir demander à un copain dans la cour de récré quel était le truc), ces moments d'émotion indescriptible en jouant la mélodie du poisson rêve. Et ces larmes devant l'écran de fin.
Et c'est marrant car autant ce jeu a touché mon cœur irrémédiablement, autant j'ai moins de souvenirs marquants de mes parties que pour Zelda 2. Les conditions de jeu expliquent certainement cela :)

La suite ? Pas de N64, découverte des deux Oracles des années plus tard, un Wind Waker en demi-teinte (y jouer pendant les vacances scolaires uniquement n'a pas aidé), la claque Majora's Mask sur la version Game Cube, la haine et le dédain envers la même version d'Ocarina of Time (et le jeu qui a figé après deux heures de jeu sans sauvegarde, je n'ai jamais eu l'envie de m'y remettre)...
Phantom Hourglass sur DS aura un peu éteint la passion, je n'ai depuis joué qu'à Links between world. Mais la magie est derrière, hélas, aussi bon soit le titre. Ce ne sont plus les mêmes sentiments qui remontent, plus la même saveur non plus.

Zelda restera pour moi le jeu des interdits, celui qui me faisait braver les risques. A défaut le jeu de l'onirisme et de l'émotion poignante. A moins qu'un nouvel opus ne réunisse à nouveau l'une de ces deux conditions, je pense difficilement y replonge réellement...

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