» [Multi-support] Là où les exclus sont exclues.

[Mayo]

L'éditeur Sunsoft n'est pas mort!  il revient en fin février 2026 avec le jeu City Hunter aka Nicky Larson  sur toute les consoles avec une adaptation du jeu sortie à l'origine sur la PC engine.    au minimum avec la traduction des texte en anglais et des musiques mis à jour... Mokori, Mokori !

[Sto]

Je ne peux m'empêcher de poster le clip de Get Wild. Ce titre est un bijou des années 80 japonaises !

[Bast]

Je joue a Earthion sur la switch et c'est bien cool.

MAIS il parait que la rom pour megadrive est dispo, extraite de la version steam du jeu. Cela ne remettra pas en cause mon envie d'acheter la cartouche megadrive qui sortira plus tard, mais si quelqu'un arrive à la récupérer pour que ça marche sur mon everdrive chinois...je lui en serai reconnaissant. J'ai copié collé la rom basiquement, seule la version démo marche, mais pas les autres versions.

Des infos ici : https://www.reddit.com/r/shmups/comments/1mgxtvj/earthion_on_mega_drive/?tl=fr

J'ai pas creusé le sujet, mais pour l'avoir testé sur Megadrive chez des potes, j'ai cru comprendre qu'il ne pouvait tourner actuellement que sur les Everdrive haut de gamme (on y a joué sur un X7). Sur le X3 de mon pote il ne se lançait pas, donc si tu as le clone chinois qui en est l'équivalent tu risques de ne pas pouvoir y jouer pour le moment, en attendant un éventuel romhack.

c'est exactement ça, clone chinois testé ce week end, même en convertissant la rom dans tous les formats imaginables : chou blanc.

[Pikazekiller]

Je ne peux m'empêcher de poster le clip de Get Wild. Ce titre est un bijou des années 80 japonaises !

La plupart des openings/endings de City Hunter sont fabuleux, Angel Night est également extraordinaire dans le genre condensé des 80's :

Avec Super Girl on est déjà plus dans les années 90 :

[ɯɐʇ]

je me suis pris un peu par hasard crypt custodian sur PS5, une petite pépite metroidvania de 10h que j'ai dévoré d'une traite. ha que c'est bon ces jeux fait avec amour, sans complexe ni ambitions démesurées.

c'est un jeu en vue de dessus, mais avec énormément de sauts, ça se manie super bien, c'est pété de secrets, c'est très axé action au point de flirter avec le manic shooter, une carte immense, une grosse douzaine de boss, zéro prise de tête (des TP dès le début du jeu, des points d'équipement à la pelle) mais une difficulté qui accroche (en hard ça pique).
je sais pas si le jeu a connu un quelconque succès mais il le mériterai, alors ouais ça réinvente pas la roue malgré quelques gimmicks supers, ça vous retourne pas le cerveau avec des énigmes à tiroir, ça pète pas le 4ème mur ou ça déconstruit pas 40 années de tropes du JV, au contraire ça embrasse tout ça avec un premier degré très rafraîchissant, ça devrait donc pas avoir sa place au game awards, mais si vous aimez les bons petits jeux indés (c'est fait par 2 frères) jetez vous dessus, c'est de la bonne.

un truc que j'ai trouvé vraiment bien foutu c'est que le perso n'a que 4 coeurs, un cinquième est déblocable avec un pouvoir mais c'est tout, pas de refill, pas de potions, pas d'ennemis qui droppent, il faut gérer sa vie entre 2 points de sauvegarde à l'ancienne, et ça marche super bien.

[averell]

Ca a l'air bien cool, merci de l'info. il y a un (des) arbre de compétence et un build à monter ou pas du tout ?

[Enker]

Cool, c'est sorti sur la Switch également. Merci du tuyau, ça a l'air fun

[ɯɐʇ]

sur switch ça doit être parfait, je l'ai fait sur PS5 mais c'est un jeu parfaitement adapté pour du handheld

averell : tu as le même système de badges que dans Hk, au début faut ajuster un peu avec un build PVE et un build boss, éventuellement des builds "agilité" pour quelques épreuves de vitesse (facultatives)... mais rapidement t'es tellement pété de points de compétences que tu peux tout équiper 
c'est pas le meilleur aspect du jeu, j'aimais bien l'idée de faire un choix, mais ça procure un sentiment assez agréable de bourrinage qui m'a pas totalement déplu (poutrer certains boss en mode je tape comme un débile, c'est assez joussif)

[PeteMul]

Bon, je me suis mis à Baldur's Gate 3.

CHIANT

Voilà.




Ahem. Non, bon, je m'y suis mis par fascination pour ce phénomène. Je connais très vaguement l'univers de AD&D pour avoir fait quelques scénarios et campagnes ça et là, mais ça s'arrête là, j'ai pas fait de Baldur / Neverwintertruc, etc. Quant au système de RPG avec lancers de dés, oui, bon, rien contre, rien pour, donc allez zou.

Bilan : qu'est-ce que c'est abscons et chiant au début bordel ? Sérieusement vous trouvez que l'intro vous donne envie de jouer à la suite vous ? On me balance dans un décor dégueulasse, où tout se ressemble, hop nature peinture, avec des fights à la con, et ensuite bim pastèque démerde-toi sur la plage pour savoir quoi faire, mais n'oublie pas de looter les 150000 containers sur le chemin hein !

Vous l'avez compris : j'ai pas aimé le début. Je trouve le jeu pas du tout accueillant pour les petits nouveaux. En tout cas pas pour ceux qui par ailleurs n'ont pas prévu de consacrer deux heures par jours à bien lire le moindre truc pour avancer de dix mètres.

Mais le jeu est joli, les personnages sont super intéressants, y'a de quoi rester accroché alors on s'accroche et on avance, on avance et NOM DE DIEU encore une zone dégueulasse (les grottes à champignons), putain mais donnez-moi des décors qui respirent bordel ! Du grandiose ! Des tartes dans ma gueule ! Ah enfin on sort et KEWAAAA un marais ignoble avec du brouillard vert et une putain de CRYPTE ?

Mais le jeu est joli, les personnages sont super intéressants, y'a de quoi rester accroché alors on s'accroche et on avance, on avance et à ce stade on TRICHE parce que vous me pétez les couilles monsieur Baldur, j'ai pris un trainer et hop, god mode + réussites auto + jeu accéléré en x2 et on trace pour arriver ce que j'attends depuis le début : la VILLE.

A LA FIN DE l'ACTE 2.


Soit après 25h à ma façon, 40h en legit à ce que j'ai compris. Et là on s'amuse. ENFIN. Là, je prends mon pied, j'explore, j'enquête, je dialogue, je filoute, c'est beau, c'est vivant, c'est propre, c'est harmonieux. On joue à la régulière désormais et oui, oui, trois fois oui, quel panard.



Mais putain quel début de merde. Et puis quelle ergonomie de con. Les menus de Zelda, je dirais même les menu de The Witcher 3 sont une bénédiction à côté. Là, changer l'équipement de son groupe c'est une chiasse verte hein. Si j'avais pas su, en écoutant les critiques, qu'il y avait un acte 3 à tomber par terre, jamais de la vie j'aurais persisté.


(Bon après on va pas se mentir : c'est une année compliquée et ma patience de JV est au plus bas depuis quelques mois. Ça joue.)


Désolé pour le rant mais ça soulage. Rassurez-moi, je suis pas le seul à avoir râlé sur le rythme de ce début et sur ces UI et UX affreuses ?

[ɯɐʇ]

j'ai arrété baldur's gate 3 lorsque je suis arrivé à baldur's gate, comme à l'époque de baldur's gate 1, donc j'ai vécu un peu l'expérience inverse de toi.

[Bodom]

Désolé pour le rant mais ça soulage. Rassurez-moi, je suis pas le seul à avoir râlé sur le rythme de ce début et sur ces UI et UX affreuses ?

Bon, certains d'entre vous me connaissent, j'ai la critique facile, je ne comprends toujours pas pourquoi les gens mettent Breath of the Wild, son gameplay chiant et ses 3 accords de merde au piano sur un piedestal, je trouve qu'Hollow Knight rate toutes les cases du bon Metroidvania, que Donkey Kong Bananza est est infiniment moins bon que Mario Odyssey, et que la manière dont les souls racontent leurs histoires est nulle à chier. Voilà pour le contexte.

Mais Baldur 3 bordel, BORDEL, quelle CLAQUE ça a été ! Alors je vais pas dire que je suis rentré dedans dès la première heure, mais j'ai vraiment très vite été scotché. Cette histoire mystérieuse de larves, ces combats que tu apprends petit à petit à maîtriser, et surtout CES MUSIQUES ! Les gens se touchent sur l'OST d'Expédition 33 (qui est exceptionnelle au demeurant), mais les compos de BG3 dans leur ensemble lui chient allègrement dessus à mon humble avis. Rien que le motif de l'écran titre, repris durant tout le jeu, me donne encore des frissons quand je l'entends.

L'interface ne m'a pas posé de problème particulier, je l'ai même trouvée plutôt raisonnablement bien faite à la manette en rapport à la tétrachiée d'objets qu'on peut ramasser. J'ai bien aimé tous les lieux traversés, et le contraste entre le vaisseau du début et l'île ensoleillée m'a paru bienvenu en début de partie. Effectivement le sous-sol avec ces champignons n'est pas forcément accueillant visuellement mais il y a quand-même de chouettes choses à y faire.

Et pourtant ce jeu je ne l'attendais pas du tout, c'est ma petite soeur qui a insisté pour que je le fasse en disant que j'allais aimer, donc y'a pas de biais à ce niveau.

Ce qui a peut-être fait que ça a marché sur moi, c'est que pour la première fois dans un C-RPG j'ai décidé dès le départ d'y jouer "Legit", à savoir assumer tous mes choix, toutes mes conneries, tous mes jets de dés ratés. J'ai dû décimer un village entier de gobelins après avoir tué un de leurs gosses sans le faire exprès (pro-tip : y'a un toggle pour faire des attaques non létales).

Clairement l'un des plus grands jeux auxquels j'ai pu jouer, et dont l'envie de relancer une partie me démange souvent, mais qui me pose un énorme dilemme : j'ai peur de voir apparaître les ficelles de l'intrigue prévues par les dev et d'en briser la magie du souvenir.


Je copie/colle ici mon avis posté à l'époque :

Ce matin je viens de finir Baldur's Gate 3, avec 102 heures de jeu au compteur. La dernière fois qu'un jeu m'a autant occupé, ben c'est peut-être Heroes 3 en cumulé, mais la comparaison n'est pas bonne.

J'avais adoré Baldur's Gate 2 à l'époque, mais à l'annonce du 3 je m'étais dit que je suis trop vieux pour ces jeux là, un peu comme pour les JRPG qui aujourd'hui ne provoquent plus chez moi la moindre once d'excitation, bien au contraire. Et puis ma petite soeur a insisté pour que j'y joue, en me disant "mais vas-y franchement il est trop bien" (oui, l'argumentaire n'est pas incroyable). Et voilà que par hasard je tombe sur la vidéo du Bazar du grenier, dans la série "ces jeux qui m'ont marqué" où il parle de BG3 et survend clairement le truc. Le lendemain, je vois sur dealabs le jeu sur XSX à 13€ au Niger, à ce prix je ne risque pas grand chose me dis-je.

Je lance le jeu en me disant que je vais lâcher l'affaire avant même d'avoir eu le temps d'accrocher. Je n'ai rien suivi du truc, pas vu un seul trailer ni lu un seul test, tout ce que je sais du jeu venant de l'épisode du Bazar du grenier, soit pas grand chose à part que c'est un jeu a priori exceptionnel. Je sais juste que je vais la jouer honnête, zéro sauvegarde avant un choix important, j'assume tous mes jets de dés foirés, tentatives de détroussage ratées et autres décisions malheureuses. C'est beaucoup plus "roleplay" et ça augmente l'intérêt.

Donc, comme pour 100% des jeux qu'on m'a survendu depuis toujours, je m'attends forcément à être déçu, mais j'en attends quand-même beaucoup. Je l'ignore encore, mais il va me donner tellement, tellement plus !

Si effectivement il fait encaisser les 2 premières heures du jeu au vu des possibilités démentielles offertes, l'histoire s'invite très vite, et rapidement on veut continuer pour en savoir plus. A partir de ce moment c'est fini, dites au revoir à vos proches.

Jusqu'ici j'avais deux énormes claques dans ma vie de joueur, Link to the Past et Resident Evil 4. Depuis ce matin j'ajoute Baldur's Gate 3 à cette liste.

Le premier sentiment après l'avoir fini, c'est l'incompréhension, le déni. Un tel jeu ne devrait pas exister, un peu comme quand on essaie de comprendre les notions d'univers, d'espace infini, on se dit qu'un truc comme ça est techniquement impossible, tant on a l'impression d'avoir mené sa propre histoire sans que jamais n'intervienne la moindre petite chose qui fait tâche. Chaque fait et geste ou presque a ses conséquences, chaque ligne de dialogue si anodine en apparence peut changer le cours de l'histoire. Et l'histoire, justement, est passionnante et contée avec une rare intelligence, sans devoir lire des descriptions absconses de morceaux d'équipement pour espérer piger 5% de ce qu'il se passe (coucou les Souls), sans avoir un PNJ qui va vous exposer les faits pendant 10 minutes, et sans audiolog à la con. Au lieu de ça, elle s'installe tout doucement, parfois au détour d'une quête anodine, parfois en lisant un bout de papier sur un cadavre ou en fouillant un coffre parfaitement anodin. Elle s'impose tout en délicatesse, et dans toute sa complexité, simplement alors que vous jouez. Et la grande majorité du temps de jeu, on se demande "mais bordel, qu'est-ce qui serait arrivé si j'avais fait ceci au lieu de cela ?".

Ensuite, BG3, ce soit aussi des choix. Et pas des choix du genre "Je sauve la demoiselle / Je la tue et viole son cadavre". Non, des choix qui des fois demandent plusieurs secondes de réflexion, à se demander si oui ou non on peut faire confiance à son interlocuteur, ou si on ne s'est pas fait berner depuis le départ. Des choix douloureux le plus souvent où il faut choisir entre la peste et le choléra. Mais des choix qui, au final, façonnent l'histoire de manière étonnante. C'est effectivement assez jouissif de voir qu'une décision qui sur le coup paraît absolument sans importance peut changer quelque chose 80h plus tard.

Une fois commencé, il devient très très dur de le lâcher, et le syndrome du "Bon, je dois juste parler à untel et après je vais me coucher" vous prendra en traitre alors que l'horloge affichera 5h du matin.

Enfin, il y a surtout les musiques. Bordel, ces musiques ! L'OST est à pleurer, et si vous aimez la bande son de Conan le Barbare, vous serez aux anges. La mélodie principale revient sous plusieurs formes au cours du jeu, c'est magistral tout simplement.

[PeteMul]

Eh ben comme quoi, la diversité des expériences, tout ça... La musique par exemple je la trouve tout juste au niveau d'un album "la Hyborian Fantasy pour mon ascenceur" 

C'est fou.

[Silver]

J'avais une longue réponse concernant le post de Pete sur BG3, mais apparemment il n'a jamais été posté (?), donc pour résumer : le jeu est fantastique mais en effet il explique très mal les mécaniques du jeu. Perso je n'ai pas eu de soucis avec l'ergonomie même en jouant avec la manette, mais l'absence de didacticiel clair est scandaleux.

Par contre je suis surpris concernant les avis sur l'Acte 1, parce qu'il est de manière générale le plus apprécié des joueurs, avec le cliché du fan qui n'a jamais fini l'Acte 1 et qui le rejoue en boucle qui est devenu un meme. Après j'avoue le combo "cave à champis-donjon géant-marais de la mort" te donne une dépression hivernale en juillet, mais je kiffe bien le début avec les druides et les goblins.

Par contre, je ne suis pas ici pour parler du meilleur jeu belge de tous les temps, mais pour parler du jeu qui a bouffé le gros de mon temps depuis sa sortie : Sonic Racing Crossworlds.



Oui, le clone de Mario Kart par Sega. Mais apparemment, le dernier MK n'a pas séduit, et du coup Sonic s'engouffre dans la brèche, avec un jeu qui propose un retour aux sources pour la série. Fini les courses en équipe de Sonic Team Racing, on revient aux classiques transformations qui ont fait la gloire de Sonic All Stars Transformed, et on rajoute un petit gimmick rigolo avec les Crossworlds. En gros, chaque second tour d'une course est choisi au hasard entre de nombreux mini-circuits, ce qui donne un peu de variété au tout... enfin en théorie, parce qu'en pratique, on rejoue les tours "perdus" dans une course finale pour clôturer chaque grand prix, donc c'est plus du mélange que de la variété.

Mais si le concept des Crossworlds est un peu gadget, par contre le cœur du jeu est SOLIDE. La Sonic Team a appelé à l'aide le studio derrière les jeux d'arcade Initial D, ce qui donne un jeu de course basé sur le drift, avec une maniabilité aux petits oignons. Le jeu est rapide à prendre en main mais prend du temps à vraiment maitriser. Il est également bien joli, sa bande son a des moments de fulgurance, et la sauce prend. Par contre il est diabolique en Super Sonic Racing. J'y ai à peine touché, j'ai voulu vendre mes consoles et devenir fermier dans le Limbourg.

Le jeu a aussi beaucoup d'options de customisation, pour le look des véhicules mais surtout pour le gameplay. Le jeu est très différent si on joue avec un véhicule basé sur la vitesse, l'accélération, ou même le boost, avec les hoverboards qui ouvrent les portes à toutes les fenêtres du snaking le plus dégueulasse sont complétement différents coté gameplay du reste. Le jeu propose également une plaque de "gadgets", des améliorations à choisir avant les courses qui permettent de customiser encore plus la maniabilité.

Le plus gros bémol actuellement pour moi c'est l'univers axé fortement sur les jeux Sonic et surtout sur les jeux récents. Comparé au All Stars Transformed qui offrait un best of de Sega et même plusieurs personnages de licences externes. On aurait aimé que le jeu propose à nouveau des persos comme Shinobi, Dreams, Wreck-It-Ralph, Team Fortress, mais pour l'instant nous n'avons que Joker de Persona, le mec de Yakuza et Minecraft. Un peu décevant. Mais si tu aimes acheter tes jeux en kits, Sega a annoncé que la réussite du jeu coté ventes les inspire déjà pour plusieurs années de DLC. Je suis donc impatient qu'ils ressortent mon ancien main : Danica Patrick, vraie pilote de NASCAR et récemment autoproclamée pro-MAGA. Ah c'est pas chez Mario qu'on a ce genre de merde.



Cette alignement foutraque des astres m'amuse au plus haut point.

Et en combo le jeu est totalement crossplatform. Donc prenez-le (quand il sera en promo faut pas déconner) et venez-donc vous faire défoncer la tronche par ma Hatsune Miku en muscle car rose.